Joan Pujol

Œuvres
  • Joan Pujol, Archive No. 19 (Fanfare), 2012
    Archive No. 19 (Fanfare), 2012
    30 x 40 in.
  • Joan Pujol, Archive No. 38 (Transition), 2016
    Archive No. 38 (Transition), 2016
    12 x 18 in.
  • Joan Pujol, Archive No. 42, 2020
    Archive No. 42, 2020
    10 x 12 in.
    Vendu
  • Joan Pujol, Archive No. 48, 2024
    Archive No. 48, 2024
    30 x 36 in.
  • Joan Pujol, Boîte à comics I, 2016
    Boîte à comics I, 2016
    12 x 9 in.
  • Joan Pujol, Boîte à comics II, 2016
    Boîte à comics II, 2016
    9 x 12 in.
  • Joan Pujol, Boîte à comics III, 2016
    Boîte à comics III, 2016
    9 x 12 in.
  • Joan Pujol, Cartoon Fanfare, 2012
    Cartoon Fanfare, 2012
    36 x 46 in.
  • Joan Pujol, Centerfold, 2017
    Centerfold, 2017
    20 x 24 in.
  • Joan Pujol, Comic 1, 2023
    Comic 1, 2023
    10 x 10 in.
  • Joan Pujol, Comic 2, 2023
    Comic 2, 2023
    10 x 10 in.
  • Joan Pujol, Comics, 2021
    Comics, 2021
    11 x 14 in.
  • Joan Pujol, Dancing Edges, 2018
    Dancing Edges, 2018
    20 x 24 in.
  • Joan Pujol, Metro Still Life, 2017
    Metro Still Life, 2017
    20 x 24 in.
  • Joan Pujol, Rush Hour A, 2018
    Rush Hour A, 2018
    20 x 24 in.
  • Joan Pujol, Study for Archive 38, 2016
    Study for Archive 38, 2016
    15 x 13 in.
  • Joan Pujol, World of Funnies, 2017
    World of Funnies, 2017
    20 x 20 in.
  • Joan Pujol, Xparcel, 2017
    Xparcel, 2017
    16 x 16 in.
Présentation

"En général, j’essaie de fournir suffisamment d’information visuelle de sorte que l’œil puisse aller au-delà de la seule représentation de la réalité et saisir la qualité poétique et émotive du sujet. Je cherche à dépasser le réalisme froid d’une approche cérébrale se fondant seulement sur la virtuosité technique."

Joan Pujol est un peintre canadien né à Sabadell, en Espagne, en 1948. L’année suivante, en 1949, ses parents ont émigré au Canada où il a fait ses études, à Québec puis en Ontario à partir de 1956, où il commence la peinture.

 

» La plupart de mon travail est composé de petites natures mortes représentant des sujets de tous les jours tels que des journaux, des sacs en plastique, des ustensiles de cuisine, etc. Je veux peindre la texture des choses. Les journaux sont, à mon avis, très intéressants à ce niveau en raison de la superposition des qualités visuelles de la typographie ou du matériel photographique ainsi que la texture du journal lui-même. En général, j’essaie de fournir suffisamment d’information visuelle de sorte que l’œil puisse aller au-delà de la seule représentation de la réalité et saisir la qualité poétique et émotive du sujet. Je cherche à dépasser le réalisme froid d’une approche cérébrale se fondant seulement sur la virtuosité technique.

 

J’utilise des pigments liés à l’huile sur un panneau en bois qui, au préalable, a été complètement verni et enduit de gesso. Une fois que cette surface est sablée pour devenir complètement lisse, je trace les grandes lignes de mon sujet avec un crayon et alors j’applique la couleur à l’huile avec mes pinceaux. Je peins toujours à partir d’un modèle de manière rigoureuse afin d’appliquer les couleurs spécifiques, la forme, la taille, le volume, le format et la texture du sujet, chargeant le panneau avec autant d’informations que possible. Avant de peindre à l’huile, j’effectue toujours une étude au crayon ou à l’aquarelle. De temps en temps je produis des aquarelles pures.

 

Je suis autant passioné par la manière de travailler et la technique des grands maîtres de la Renaissance que celle des maîtres contemporains comme Wyeth ou Colville.